Pourquoi Erick Kindambu reste silencieux au sujet du dossier du Festival africain des arts martiaux (FADAM) alors que celui-ci suscite suspicion, doute et polémique ?
L’attitude adoptée jusqu’à ce jour par le président de la confédération congolaise des sports de combat fait penser à l’opinion sportive qu’il cache bien certaines vérités y relatives. “Il ne nous dit pas tout”, ont commenté lundi certains professionnels des médias après l’avoir écouté à l’issue de l’audience accordée à sa structure par le ministre des Sports et loisirs François Claude Kabulo Mwana Kabulo.
Ces journalistes spécialisés ne s’expliquent pas la désolidarisation du président de la Fédération congolaise de Tai-jitsu de l’initiative de FADAM dont il a été la porte d’entrée auprès des fédérations des sports de combat et même la caution de crédibilité dans les hautes instances du pays. “Une image vaut mille mots”, dit-on. Les photos où l’on voit le président de la confédération congolaise des sports de combat aux côtés de l’initiateur de FADAM à la présidence de la République avec le directeur de cabinet du chef de l’État et les membres du collège de ses conseils sont plus éloquentes à ce propos.
Les Congolais ont besoin des explications de M. Kindambu pour être éclairés sur ce qui se passe réellement .
JKNG